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DE LA CRAU – Saint-Brieuc (22) – Les Mercredis du Valais – 19.07.23

DE LA CRAU

De l’enfer industriel de Fos-sur-Mer à la rive arlésienne du Rhône,  la CRAU -dernière steppe d’Europe occidentale- fait le lit du réel. Des amas de rocaille, cette ancienne mer abandonnée en a roulé et en roule encore dans la furie du vent, et une voiture qui traverserait de part en part ce petit désert filerait droit sur des dizaines de kilomètres, dans des paysages qu’un  Hopper ou un Walker Evans auraient rendu américains sans effort.

C’est sur les fonds de cette mer bordée d’usines, assoupie dans la sobriété de son déploiement immense, que les trois musiciens de DE LA CRAU ont imaginé la bande-son de leur périple. Ils sont partis d’un chant qui éventre les cieux,  auquel répondent en puissance et en poésie la contrebasse, les percussions et le déchaînement extatique de la mandole.

 

C’est dans cette étendue post-industrielle que Lou Reed croise enfin Matar Muhammad, et c’est seulement là qu’on imagine leur rencontre, sous la plume d’un SAMUEL KARPIÉNIA inspiré comme jamais, emmené à son apogée par l’archet sombre et vigoureux de MANU REYMOND et le set coloré de THOMAS LIPPENS. Ils explorent à présent un sillon creusé il y a vingt ans non loin des usines, comme une plaie qu’ils continueraient de soigner pour l’éternité, et que le chant et la mandole ne parviendraient à apaiser que dans l’amplitude âpre de ces horizons.

 

DISTRIBUTION :

 

Sam Karpienia commence le chant provençal avec le groupe de Manu Théron Gacha Empega, ensuite il fonde Dupain de 1999 à 2016 et parallèlement le groupe Forabandit mélangeant provençal et chants d’Anatolie.

 

Manu Reymond a joué avec le groupe PoumTchac et collaboré à divers projets ( BabX, Nathalia M King, bal folk…)

 

Thomas Lippens a étudié le tambourin à Naples et a intégré cet instrument dans différents projets de musiques traditionnelles dans le sud de la France, mais aussi au sein de la Kreiz Breiz Académie en Bretagne avec Erik Marchand.

TIGHRI UZAR – Marseille (13) – Les Nocturnes de l’été dans les Musées de Marseille – 20.07.2023

La formation artistique Tighri Uzar est composée de trois femmes algériennes, les sœurs Ammour, originaires de Yakouren.

Elles sont les interprètes de chants kabyles traditionnels. A cappella, accompagnées de percussion ou de guitare sèche.

 

«Tighri Uzar est une formation artistique qui perpétue le chant ancestral kabyle. Composée de trois jeunes femmes, originaires de la région de Yakouren, dans la wilaya de Tizi Ouzou, elles sont  les représentantes de ce genre de chant et se qualifient comme protectrices de ce patrimoine immatériel, issu de la Kabylie.

Nadia, Samia et Naima Ammour sont des sœurs et se sont engagées dans l’interprétation et la transmission de cette poésie venue de loin, dans l’histoire. Elles interprètent ces chants  traditionnels a cappella ou accompagnés de percussions, derbouka ou bendir, ou d’une guitare sèche. Leurs chants, qui ont traversé les siècles, expriment divers thèmes, l’amour, la joie, l’exil,  la condition de la femme…

Animées par le désir de préserver et de transmettre ce patrimoine, elles recueillent depuis des années ces chants et airs. Leur première source fut leur mère et par la suite les anciens qui font appel à leur mémoire. Cette poésie accompagnait la vie quotidienne des villageois, dans la joie ou la tristesse. « La voix de notre mère nous a bercé pendant toute notre enfance. Elle maitrisait ce genre de chant qu’elle a à son tour appris avec notre grand-mère. Mes sœurs et moi-même avions un intérêt voire une passion pour cette poésie populaire d’où notre engagement à la perpétuer et à la faire revivre pour les générations futures dans des supports médiatiques. Notre objectif n’est pas mercantile mais seulement offrir l’occasion de revisiter ce patrimoine », a estimé Samia Ammour. »

Karima Dehiles .

HAKIM HAMADOUCHE ET QUINTET – Marseille (13) – Les Nocturnes De L’été Dans Les Musées De Marseille – 20.07.2023

Hakim Hamadouche revisite les traditions musicales de son pays d’origine, l’Algérie, explore des zones mixtes en partant dans des improvisations avec d’autres pirates musicaux,

« un esprit punk pour des musiques rebelles ».

« Hakim Hamadouche, le musicien discret déchaine avec une énergie intense le mélange de genres et de cultures. Alliant la musique Chaabi, free jazz et le rock dans une fusion frénétique là ou l’improvisation musicale n’est jamais réellement loin. » Par Camil ANTRI-BOUZAR

DE LA CRAU – Cavalaire ( 83) – Bonporteau Festival / 11/08/23

DE LA CRAU

De l’enfer industriel de Fos-sur-Mer à la rive arlésienne du Rhône,  la CRAU -dernière steppe d’Europe occidentale- fait le lit du réel. Des amas de rocaille, cette ancienne mer abandonnée en a roulé et en roule encore dans la furie du vent, et une voiture qui traverserait de part en part ce petit désert filerait droit sur des dizaines de kilomètres, dans des paysages qu’un  Hopper ou un Walker Evans auraient rendu américains sans effort.

C’est sur les fonds de cette mer bordée d’usines, assoupie dans la sobriété de son déploiement immense, que les trois musiciens de DE LA CRAU ont imaginé la bande-son de leur périple. Ils sont partis d’un chant qui éventre les cieux,  auquel répondent en puissance et en poésie la contrebasse, les percussions et le déchaînement extatique de la mandole.

 

C’est dans cette étendue post-industrielle que Lou Reed croise enfin Matar Muhammad, et c’est seulement là qu’on imagine leur rencontre, sous la plume d’un SAMUEL KARPIÉNIA inspiré comme jamais, emmené à son apogée par l’archet sombre et vigoureux de MANU REYMOND et le set coloré de THOMAS LIPPENS. Ils explorent à présent un sillon creusé il y a vingt ans non loin des usines, comme une plaie qu’ils continueraient de soigner pour l’éternité, et que le chant et la mandole ne parviendraient à apaiser que dans l’amplitude âpre de ces horizons.

 

DISTRIBUTION :

 

Sam Karpienia commence le chant provençal avec le groupe de Manu Théron Gacha Empega, ensuite il fonde Dupain de 1999 à 2016 et parallèlement le groupe Forabandit mélangeant provençal et chants d’Anatolie.

 

Manu Reymond a joué avec le groupe PoumTchac et collaboré à divers projets ( BabX, Nathalia M King, bal folk…)

 

Thomas Lippens a étudié le tambourin à Naples et a intégré cet instrument dans différents projets de musiques traditionnelles dans le sud de la France, mais aussi au sein de la Kreiz Breiz Académie en Bretagne avec Erik Marchand.

 

 

DE LA CRAU – Port St Louis du Rhône (13) – Soirées Méditerranéennes 17/08/23

DE LA CRAU

De l’enfer industriel de Fos-sur-Mer à la rive arlésienne du Rhône,  la CRAU -dernière steppe d’Europe occidentale- fait le lit du réel. Des amas de rocaille, cette ancienne mer abandonnée en a roulé et en roule encore dans la furie du vent, et une voiture qui traverserait de part en part ce petit désert filerait droit sur des dizaines de kilomètres, dans des paysages qu’un  Hopper ou un Walker Evans auraient rendu américains sans effort.

C’est sur les fonds de cette mer bordée d’usines, assoupie dans la sobriété de son déploiement immense, que les trois musiciens de DE LA CRAU ont imaginé la bande-son de leur périple. Ils sont partis d’un chant qui éventre les cieux,  auquel répondent en puissance et en poésie la contrebasse, les percussions et le déchaînement extatique de la mandole.

C’est dans cette étendue post-industrielle que Lou Reed croise enfin Matar Muhammad, et c’est seulement là qu’on imagine leur rencontre, sous la plume d’un SAMUEL KARPIÉNIA inspiré comme jamais, emmené à son apogée par l’archet sombre et vigoureux de MANU REYMOND et le set coloré de THOMAS LIPPENS. Ils explorent à présent un sillon creusé il y a vingt ans non loin des usines, comme une plaie qu’ils continueraient de soigner pour l’éternité, et que le chant et la mandole ne parviendraient à apaiser que dans l’amplitude âpre de ces horizons.

 

DISTRIBUTION :

 Sam Karpienia commence le chant provençal avec le groupe de Manu Théron Gacha Empega, ensuite il fonde Dupain de 1999 à 2016 et parallèlement le groupe Forabandit mélangeant provençal et chants d’Anatolie.

 Manu Reymond a joué avec le groupe PoumTchac et collaboré à divers projets ( BabX, Nathalia M King, bal folk…)

 Thomas Lippens a étudié le tambourin à Naples et a intégré cet instrument dans différents projets de musiques traditionnelles dans le sud de la France, mais aussi au sein de la Kreiz Breiz Académie en Bretagne avec Erik Marchand.

 

DE LA CRAU – Coaraze (06) – 19/08/23

DE LA CRAU

 

De l’enfer industriel de Fos-sur-Mer à la rive arlésienne du Rhône,  la CRAU -dernière steppe d’Europe occidentale- fait le lit du réel. Des amas de rocaille, cette ancienne mer abandonnée en a roulé et en roule encore dans la furie du vent, et une voiture qui traverserait de part en part ce petit désert filerait droit sur des dizaines de kilomètres, dans des paysages qu’un  Hopper ou un Walker Evans auraient rendu américains sans effort.

C’est sur les fonds de cette mer bordée d’usines, assoupie dans la sobriété de son déploiement immense, que les trois musiciens de DE LA CRAU ont imaginé la bande-son de leur périple. Ils sont partis d’un chant qui éventre les cieux,  auquel répondent en puissance et en poésie la contrebasse, les percussions et le déchaînement extatique de la mandole.

C’est dans cette étendue post-industrielle que Lou Reed croise enfin Matar Muhammad, et c’est seulement là qu’on imagine leur rencontre, sous la plume d’un SAMUEL KARPIÉNIA inspiré comme jamais, emmené à son apogée par l’archet sombre et vigoureux de MANU REYMOND et le set coloré de THOMAS LIPPENS. Ils explorent à présent un sillon creusé il y a vingt ans non loin des usines, comme une plaie qu’ils continueraient de soigner pour l’éternité, et que le chant et la mandole ne parviendraient à apaiser que dans l’amplitude âpre de ces horizons.

 

DISTRIBUTION :

 Sam Karpienia commence le chant provençal avec le groupe de Manu Théron Gacha Empega, ensuite il fonde Dupain de 1999 à 2016 et parallèlement le groupe Forabandit mélangeant provençal et chants d’Anatolie.

 Manu Reymond a joué avec le groupe PoumTchac et collaboré à divers projets ( BabX, Nathalia M King, bal folk…)

 Thomas Lippens a étudié le tambourin à Naples et a intégré cet instrument dans différents projets de musiques traditionnelles dans le sud de la France, mais aussi au sein de la Kreiz Breiz Académie en Bretagne avec Erik Marchand.

 

TRAMUNTANA – La Côte St André (38) – Festival Berlioz 20/08/23

TRAMUNTANA

 A Tramuntana , c’est le vocable sicilien qui désigne notre Tramontane méditerranéenne, ce vent qui passe tous les obstacles pour venir balayer les cieux de l’écho des rues, des plaines et des montagnes qu’il a traversées. En Provence, en Sicile ou en Afrique du Nord, la tramontane ne dispense pas forcément les mêmes bienfaits, mais elle est cependant toujours annonciatrice du changement que marins, voyageurs ou pèlerins attendent pour connaître la direction à emprunter.

C’est dans le chant et les musiques de ces voyages que  « TRAMUNTANA » puise son inspiration, pour restituer non seulement les espoirs, mais aussi les parfums et les sonorités rencontrées par les musiciens lors de leurs voyages dans ces régions.

Manu Théron (chant, tambours sur cadre) a réuni dans cet ensemble la chanteuse sicilienne Maura Guerrera (chant et Tamburello), le compositeur algérois Malik Ziad (mandole, guembri et chant), et le chanteur Avignonnais Damien Toumi (chant et bendir), le musicien Arthur Bacon ( accordéon), ainsi que le virtuose Benjamin Mélia (flûtes, fifres, galoubets et cornemuses, tambourin) et Thomas Lippens (barroudeur de percussions) pour initier et retranscrire les parcours de la Tramuntana dans les musiques populaires de méditerranée.

En Italie, Berlioz avait remarqué la puissance évocatrice des instruments populaires lors de la venue de musiciens traditionnels des Abruzzes au moment des fêtes religieuses ou des célébrations de Noël. Il notait aussi la vivacité et l’intensité de l’émotion qu’il avait ressentie en allant les entendre ensuite dans leurs montagnes. C’est à cette expérience que Tramuntana convie l’auditeur, a la découverte des sonorités et des émotions que les musiciens impriment au long de leurs périples.

TRAMUNTANA – La Côte St André (38) – Festival Berlioz 21/08/23

TRAMUNTANA

 A Tramuntana , c’est le vocable sicilien qui désigne notre Tramontane méditerranéenne, ce vent qui passe tous les obstacles pour venir balayer les cieux de l’écho des rues, des plaines et des montagnes qu’il a traversées. En Provence, en Sicile ou en Afrique du Nord, la tramontane ne dispense pas forcément les mêmes bienfaits, mais elle est cependant toujours annonciatrice du changement que marins, voyageurs ou pèlerins attendent pour connaître la direction à emprunter.

C’est dans le chant et les musiques de ces voyages que  « TRAMUNTANA » puise son inspiration, pour restituer non seulement les espoirs, mais aussi les parfums et les sonorités rencontrées par les musiciens lors de leurs voyages dans ces régions.

Manu Théron (chant, tambours sur cadre) a réuni dans cet ensemble la chanteuse sicilienne Maura Guerrera (chant et Tamburello), le compositeur algérois Malik Ziad (mandole, guembri et chant), et le chanteur Avignonnais Damien Toumi (chant et bendir), le musicien Arthur Bacon ( accordéon), ainsi que le virtuose Benjamin Mélia (flûtes, fifres, galoubets et cornemuses, tambourin) et Thomas Lippens (barroudeur de percussions) pour initier et retranscrire les parcours de la Tramuntana dans les musiques populaires de méditerranée.

En Italie, Berlioz avait remarqué la puissance évocatrice des instruments populaires lors de la venue de musiciens traditionnels des Abruzzes au moment des fêtes religieuses ou des célébrations de Noël. Il notait aussi la vivacité et l’intensité de l’émotion qu’il avait ressentie en allant les entendre ensuite dans leurs montagnes. C’est à cette expérience que Tramuntana convie l’auditeur, a la découverte des sonorités et des émotions que les musiciens impriment au long de leurs périples.

TRAMUNTANA – La Côte St André (38) – Festival Berlioz 22/08/23

TRAMUNTANA

 A Tramuntana , c’est le vocable sicilien qui désigne notre Tramontane méditerranéenne, ce vent qui passe tous les obstacles pour venir balayer les cieux de l’écho des rues, des plaines et des montagnes qu’il a traversées. En Provence, en Sicile ou en Afrique du Nord, la tramontane ne dispense pas forcément les mêmes bienfaits, mais elle est cependant toujours annonciatrice du changement que marins, voyageurs ou pèlerins attendent pour connaître la direction à emprunter.

C’est dans le chant et les musiques de ces voyages que  « TRAMUNTANA » puise son inspiration, pour restituer non seulement les espoirs, mais aussi les parfums et les sonorités rencontrées par les musiciens lors de leurs voyages dans ces régions.

Manu Théron (chant, tambours sur cadre) a réuni dans cet ensemble la chanteuse sicilienne Maura Guerrera (chant et Tamburello), le compositeur algérois Malik Ziad (mandole, guembri et chant), et le chanteur Avignonnais Damien Toumi (chant et bendir), le musicien Arthur Bacon ( accordéon), ainsi que le virtuose Benjamin Mélia (flûtes, fifres, galoubets et cornemuses, tambourin) et Thomas Lippens (barroudeur de percussions) pour initier et retranscrire les parcours de la Tramuntana dans les musiques populaires de méditerranée.

En Italie, Berlioz avait remarqué la puissance évocatrice des instruments populaires lors de la venue de musiciens traditionnels des Abruzzes au moment des fêtes religieuses ou des célébrations de Noël. Il notait aussi la vivacité et l’intensité de l’émotion qu’il avait ressentie en allant les entendre ensuite dans leurs montagnes. C’est à cette expérience que Tramuntana convie l’auditeur, a la découverte des sonorités et des émotions que les musiciens impriment au long de leurs périples.

 

TRAMUNTANA – La Côte St André (38) – Festival Berlioz 23/08/23

TRAMUNTANA

 A Tramuntana , c’est le vocable sicilien qui désigne notre Tramontane méditerranéenne, ce vent qui passe tous les obstacles pour venir balayer les cieux de l’écho des rues, des plaines et des montagnes qu’il a traversées. En Provence, en Sicile ou en Afrique du Nord, la tramontane ne dispense pas forcément les mêmes bienfaits, mais elle est cependant toujours annonciatrice du changement que marins, voyageurs ou pèlerins attendent pour connaître la direction à emprunter.

C’est dans le chant et les musiques de ces voyages que  « TRAMUNTANA » puise son inspiration, pour restituer non seulement les espoirs, mais aussi les parfums et les sonorités rencontrées par les musiciens lors de leurs voyages dans ces régions.

Manu Théron (chant, tambours sur cadre) a réuni dans cet ensemble la chanteuse sicilienne Maura Guerrera (chant et Tamburello), le compositeur algérois Malik Ziad (mandole, guembri et chant), et le chanteur Avignonnais Damien Toumi (chant et bendir), le musicien Arthur Bacon ( accordéon), ainsi que le virtuose Benjamin Mélia (flûtes, fifres, galoubets et cornemuses, tambourin) et Thomas Lippens (barroudeur de percussions) pour initier et retranscrire les parcours de la Tramuntana dans les musiques populaires de méditerranée.

En Italie, Berlioz avait remarqué la puissance évocatrice des instruments populaires lors de la venue de musiciens traditionnels des Abruzzes au moment des fêtes religieuses ou des célébrations de Noël. Il notait aussi la vivacité et l’intensité de l’émotion qu’il avait ressentie en allant les entendre ensuite dans leurs montagnes. C’est à cette expérience que Tramuntana convie l’auditeur, a la découverte des sonorités et des émotions que les musiciens impriment au long de leurs périples.

 

août 23 2023

Details

Date: 23 août 2023
Time: 23 h 00 min - 0 h 15 min
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Venue

Château Louis XI

23 Rue des Remparts
La Côte-Saint-André, 38260 France

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Organisateur

AIDA 38
Phone: 04 74 20 20 79
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