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PIADAS – Aspremont (05) – 21/02/19

Sur les traces des géants (Dins lei piadas dei gigants) est une suite de poèmes empruntés à divers recueils de Roland Pécout, poète marcheur et dériveur du renouveau occitan, dont l’oeuvre est caractérisée par ses liens avec la beat generation et les mondes poétiques des années 60 et 70. Mais plutôt que de rebattre une voie suffisamment explorée, c’est à une découverte généalogique que nous invite cette suite, où des poètes précurseurs et Pécout racontent la force autant que la nécessité de leur attachement aux cultures populaires.

La densité archaïque et chatoyante d’une tradition, l’horizontalité du récit mythique, la puissance contrastée de l’imagerie ou les démonstrations sereines d’une humanité généreuse et unie hantent leurs univers respectifs, de façons parfois inattendues : Ainsi Ginsberg va puiser aux coutumes des native americans pour redéfinir une posture de responsabilité vis-à-vis de la de la Nature et de notre nature ; Pasolini s’enivre d’un jeu de désirs inavouables, dans une fête populaire, et part assouvir sa soif d’amour avec un peuple envisagé dans son essence ; Kérouaclui, attend comme une révélation de connaître sa destination tandis que Hafiz s’ancre à l’ivresse pour mieux s’échapper dans la langueur d’un voyage intérieur ; pour le Rimbaud des Illuminations, le voyage de l’homme européen est l’argument autant que le lieu d’un saccage …

Confronter ces textes à la polyphonie populaire, c’est aussi redonner à l’oralité la place que leurs auteurs semblent lui reconnaître, et renouer ce lien qui, dans des temps pas si reculés, faisait se conjuguer dans un même lyrisme la muse des aèdes et le « joi » des troubadours. Le chant y est exalté tant par l’invention poétique (et l’imaginaire dévoilé) que par la neutralité rugueuse du geste polyphonique. Parfois timbrées alla sarda, parfois dans les sinuosités du chant orthodoxe, souvent aussi dans la fièvre que l’inspiration méditerranéenne attise, les voix portent littéralement le texte aux nues et les chanteurs peuvent laisser s’écouler comme un flux inaltérable le discours poétique. Son caractère énigmatique, renforcé par un jeu appuyé sur les silences et les intervalles inhabituels que la variété des modes de versification suscite, déroute délibérément l’auditeur.

PIADAS – Espinasses (05) – 22/02/19

Sur les traces des géants (Dins lei piadas dei gigants) est une suite de poèmes empruntés à divers recueils de Roland Pécout, poète marcheur et dériveur du renouveau occitan, dont l’oeuvre est caractérisée par ses liens avec la beat generation et les mondes poétiques des années 60 et 70. Mais plutôt que de rebattre une voie suffisamment explorée, c’est à une découverte généalogique que nous invite cette suite, où des poètes précurseurs et Pécout racontent la force autant que la nécessité de leur attachement aux cultures populaires.

La densité archaïque et chatoyante d’une tradition, l’horizontalité du récit mythique, la puissance contrastée de l’imagerie ou les démonstrations sereines d’une humanité généreuse et unie hantent leurs univers respectifs, de façons parfois inattendues : Ainsi Ginsberg va puiser aux coutumes des native americans pour redéfinir une posture de responsabilité vis-à-vis de la de la Nature et de notre nature ; Pasolini s’enivre d’un jeu de désirs inavouables, dans une fête populaire, et part assouvir sa soif d’amour avec un peuple envisagé dans son essence ; Kérouaclui, attend comme une révélation de connaître sa destination tandis que Hafiz s’ancre à l’ivresse pour mieux s’échapper dans la langueur d’un voyage intérieur ; pour le Rimbaud des Illuminations, le voyage de l’homme européen est l’argument autant que le lieu d’un saccage …

Confronter ces textes à la polyphonie populaire, c’est aussi redonner à l’oralité la place que leurs auteurs semblent lui reconnaître, et renouer ce lien qui, dans des temps pas si reculés, faisait se conjuguer dans un même lyrisme la muse des aèdes et le « joi » des troubadours. Le chant y est exalté tant par l’invention poétique (et l’imaginaire dévoilé) que par la neutralité rugueuse du geste polyphonique. Parfois timbrées alla sarda, parfois dans les sinuosités du chant orthodoxe, souvent aussi dans la fièvre que l’inspiration méditerranéenne attise, les voix portent littéralement le texte aux nues et les chanteurs peuvent laisser s’écouler comme un flux inaltérable le discours poétique. Son caractère énigmatique, renforcé par un jeu appuyé sur les silences et les intervalles inhabituels que la variété des modes de versification suscite, déroute délibérément l’auditeur.

PIADAS – Saint-Bonnet-Champsaur (05) – 23/02/19

Sur les traces des géants (Dins lei piadas dei gigants) est une suite de poèmes empruntés à divers recueils de Roland Pécout, poète marcheur et dériveur du renouveau occitan, dont l’oeuvre est caractérisée par ses liens avec la beat generation et les mondes poétiques des années 60 et 70. Mais plutôt que de rebattre une voie suffisamment explorée, c’est à une découverte généalogique que nous invite cette suite, où des poètes précurseurs et Pécout racontent la force autant que la nécessité de leur attachement aux cultures populaires.

La densité archaïque et chatoyante d’une tradition, l’horizontalité du récit mythique, la puissance contrastée de l’imagerie ou les démonstrations sereines d’une humanité généreuse et unie hantent leurs univers respectifs, de façons parfois inattendues : Ainsi Ginsberg va puiser aux coutumes des native americans pour redéfinir une posture de responsabilité vis-à-vis de la de la Nature et de notre nature ; Pasolini s’enivre d’un jeu de désirs inavouables, dans une fête populaire, et part assouvir sa soif d’amour avec un peuple envisagé dans son essence ; Kérouac, lui, attend comme une révélation de connaître sa destination tandis que Hafiz s’ancre à l’ivresse pour mieux s’échapper dans la langueur d’un voyage intérieur ; pour le Rimbaud des Illuminations, le voyage de l’homme européen est l’argument autant que le lieu d’un saccage …

Confronter ces textes à la polyphonie populaire, c’est aussi redonner à l’oralité la place que leurs auteurs semblent lui reconnaître, et renouer ce lien qui, dans des temps pas si reculés, faisait se conjuguer dans un même lyrisme la muse des aèdes et le « joi » des troubadours. Le chant y est exalté tant par l’invention poétique (et l’imaginaire dévoilé) que par la neutralité rugueuse du geste polyphonique. Parfois timbrées alla sarda, parfois dans les sinuosités du chant orthodoxe, souvent aussi dans la fièvre que l’inspiration méditerranéenne attise, les voix portent littéralement le texte aux nues et les chanteurs peuvent laisser s’écouler comme un flux inaltérable le discours poétique. Son caractère énigmatique, renforcé par un jeu appuyé sur les silences et les intervalles inhabituels que la variété des modes de versification suscite, déroute délibérément l’auditeur.

PIADAS – Baratier (05) – 24/02/19

Sur les traces des géants (Dins lei piadas dei gigants) est une suite de poèmes empruntés à divers recueils de Roland Pécout, poète marcheur et dériveur du renouveau occitan, dont l’oeuvre est caractérisée par ses liens avec la beat generation et les mondes poétiques des années 60 et 70. Mais plutôt que de rebattre une voie suffisamment explorée, c’est à une découverte généalogique que nous invite cette suite, où des poètes précurseurs et Pécout racontent la force autant que la nécessité de leur attachement aux cultures populaires.

La densité archaïque et chatoyante d’une tradition, l’horizontalité du récit mythique, la puissance contrastée de l’imagerie ou les démonstrations sereines d’une humanité généreuse et unie hantent leurs univers respectifs, de façons parfois inattendues : Ainsi Ginsberg va puiser aux coutumes des native americans pour redéfinir une posture de responsabilité vis-à-vis de la de la Nature et de notre nature ; Pasolini s’enivre d’un jeu de désirs inavouables, dans une fête populaire, et part assouvir sa soif d’amour avec un peuple envisagé dans son essence ; Kérouac, lui, attend comme une révélation de connaître sa destination tandis que Hafiz s’ancre à l’ivresse pour mieux s’échapper dans la langueur d’un voyage intérieur ; pour le Rimbaud des Illuminations, le voyage de l’homme européen est l’argument autant que le lieu d’un saccage …

Confronter ces textes à la polyphonie populaire, c’est aussi redonner à l’oralité la place que leurs auteurs semblent lui reconnaître, et renouer ce lien qui, dans des temps pas si reculés, faisait se conjuguer dans un même lyrisme la muse des aèdes et le « joi » des troubadours. Le chant y est exalté tant par l’invention poétique (et l’imaginaire dévoilé) que par la neutralité rugueuse du geste polyphonique. Parfois timbrées alla sarda, parfois dans les sinuosités du chant orthodoxe, souvent aussi dans la fièvre que l’inspiration méditerranéenne attise, les voix portent littéralement le texte aux nues et les chanteurs peuvent laisser s’écouler comme un flux inaltérable le discours poétique. Son caractère énigmatique, renforcé par un jeu appuyé sur les silences et les intervalles inhabituels que la variété des modes de versification suscite, déroute délibérément l’auditeur.

PIADAS – Avignon (84) – L’entrepôt / 17/10/19

Concert de présentation du répertoire poétique de PIADAS

DANS LE PAS DES GÉANTS (Dins lei piadas dei gigants) est une suite de chants empruntés aux poèmes de divers recueils de Roland Pécout, poète marcheur et dériveur du renouveau occitan, dont l’oeuvre est caractérisée par ses liens avec la beat generation et les mondes poétiques des années 60 et 70.
Plutôt que de sillonner une voie déjà encombrée, c’est à une découverte généalogique que nous invite la polyphonie. Des poètes précurseurs et Pécout y racontent la force autant que la nécessité de leur attachement aux cultures populaires.

Les empreintes de pas des géants seront en résidence du 14 au 17/10 à Avignon, à la sortie de laquelle les cinq chanteurs donneront un concert de présentation de ce répertoire poétique inédit à L’Entrepôt théâtre.

PIADAS – Festival Printemps du monde – CORRENS (83) – 12/09/20

La création « Dins lei piadas dei gigants » / « Dans les pas des géants » s’inspire de poèmes de Roland Pécout, poète marcheur et dériveur du renouveau occitan dont l’œuvre se caractérise par ses liens avec la Beat Generation et les mondes poétiques des années 60 et 70. Kerouac, Ginsberg, Pasolini, mais aussi le persan Hafiz et le Rimbaud des « Illuminations » sont ainsi convoqués comme des sémaphores, des boussoles, sinon des vigies bienveillantes, qui nous aident à peupler nos dérives, à les habiter avec plus d’engouement. En confrontant ces textes à la polyphonie populaire, Manu Théron et ses complices (Damien Toumi, Geoffroy Dudouit, Guillaume Maupin et Thomas Georget) redonnent à l’oralité la place que leurs auteurs lui conféraient.

PIADAS – Rencontres de Chants Polyphoniques – CALVI (2B) – 15/09/20

Les cinq chanteurs de l’ensemble Piadas proposent de découvrir « Dins lei piadas dei gigants » – Sur les pas des géants – un concert de musique vocale inspirée par les musiques populaires de Méditerranée. Les poèmes occitans contemporains de Roland Pécout occupent une place majeure et croisent ceux de Pasolini, Ginsberg, Hafez, Kerouac et Rimbaud. La poésie est exaltée tant par le chant que par le geste polyphonique. Parfois timbrées « alla sarda », parfois dans les sinuosités du chant orthodoxe et toujours dans la fièvre de l’inspiration méditerranéenne, les voix portent le discours poétique, déroutant l’auditeur.

La création « Dins lei piadas dei gigants » / « Dans les pas des géants » s’inspire de poèmes de Roland Pécout, poète marcheur et dériveur du renouveau occitan dont l’œuvre se caractérise par ses liens avec la Beat Generation et les mondes poétiques des années 60 et 70. Kerouac, Ginsberg, Pasolini, mais aussi le persan Hafiz et le Rimbaud des « Illuminations » sont ainsi convoqués comme des sémaphores, des boussoles, sinon des vigies bienveillantes, qui nous aident à peupler nos dérives, à les habiter avec plus d’engouement. En confrontant ces textes à la polyphonie populaire, Manu Théron et ses complices redonnent à l’oralité la place que leurs auteurs lui conféraient.

Guillaume Maupin, chant
Damien Toumi, chant, tambours sur cadre
Thomas Georget, chant
Geoffroy Dudouit, chant
Manu Théron, chant, tambour sur cadre, direction artistique

PIADAS – Festival De Vives Voix – MARSEILLE (13) – 31/10/20

Festival De Vives Voix #16

Plus que jamais, la voix, cette année là, cette année 2020, se décline dans tous ses états :
Belle pour le plaisir de l’esthétisme, douce pour apaiser, énergique pour soigner, colorée pour relier, profonde pour exprimer, forte pour résister, enfin puissante pour exister, malgré tout.
De la tradition à la création c’est un véritable voyage qui vous est proposé.

ATTENTION !En vertu des mesures sanitaires gouvernementales les places sont limitées, réservation conseillée au 09 54 45 09 69. 

Il est impératif de réserver ! En revanche, les personnes amies peuvent réserver en même temps, s’assoir à côté et gagner un peu de place. La billetterie ouvre à 20h.

Entrée 8 € : adhérents Les Voies du Chant,
11€ entrée + adhésion annuelle concert à la Maison du Chant

Le port du masque est obligatoire pendant la circulation dans la Maison du Chant et pendant la durée du concert.

Attention, il n’y a que très peu de place de parking dans la rue, privilégiez les transports en commun et la marche à pieds même si ça monte pas mal ; on est si content d’y arriver !


Les cinq chanteurs de l’ensemble Piadas proposent de découvrir « Dins lei piadas dei gigants » – Sur les pas des géants – un concert de musique vocale inspirée par les musiques populaires de Méditerranée. Les poèmes occitans contemporains de Roland Pécout occupent une place majeure et croisent ceux de Pasolini, Ginsberg, Hafez, Kerouac et Rimbaud. La poésie est exaltée tant par le chant que par le geste polyphonique. Parfois timbrées « alla sarda », parfois dans les sinuosités du chant orthodoxe et toujours dans la fièvre de l’inspiration méditerranéenne, les voix portent le discours poétique, déroutant l’auditeur.

Guillaume Maupin, chant
Damien Toumi, chant, tambours sur cadre
Thomas Georget, chant
Geoffroy Dudouit, chant
Manu Théron, chant, tambour sur cadre, direction artistique

octobre 31 2020

Details

Date: 31 octobre 2020
Time: 20 h 30 min - 22 h 30 min
Cost: 11€
Événement Categories: ,
Website: Visit Event Website

Venue

La Maison du Chant

49 rue Chape
Marseille, PACA 13004 France

+ Google Map

Phone:

09 54 45 09 69

Organisateur

De Vives Voix
Phone: 09 54 45 09 69
Website: Visit Organizer Website