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MADALENA – Marseille – 12/04/24 – Festival de Vives Voix

MADALENA
Une oeuvre réjouissante de réappropriation d’un pan refoulé de l’histoire…
Celle de MADALENA qui, à l’instar de l’Artémis d’Ephèse, demeure l’une des figures tutélaires et intemporelles de la cité phocéenne.

L’adaptation de la cantilène à Sancta Maria Magdalena par Manu Théron était une gageure. Il fallait permettre à ce chant archaïque, renouant avec la dévotion populaire à la sainte en Provence, de se déployer librement, affranchi de l’uniformité du dogme catholique qui l’avait un temps proscrit. Confiée à un chœur de vingt-trois femmes (alors que La Cantinella était autrefois interprétée par des chanoines de la cathédrale de Marseille), Madalena est une célébration rare et exaltante de la féminité et du plaisir de chanter.

Magnifiée par la spiritualité solaire et unique de ce chœur des Pays d’Oc, la musique de Madalena s’inscrit dans une dynamique singulière, spécifique aux musiques populaires spirituelles de Méditerranée. Alternant répétition, scansion et échanges entre chœur et soli, l’œuvre nouvelle, empreinte de majesté et de modernité, est d’abord une ode à la vie, à l’émancipation et aux retrouvailles des plaisirs terrestres et de l’amour divin.

Distribution:

Manu Théron : Direction artistique

Lise Borki
Karine Berny
Hélène Arnaud
Myriam Boisserie
Hélène Pages
Laetitia Dutech
Anaïs Andret- Cartini
Colette Guilhem
Carole Lazzeri
Magali Bizot- Dargent
Maguelonne Bizot-Dargent
Caroline Tolla
Marie-Noëlle Pieracci
Annie Maltinti
Isabelle François
Géraldine Lopez
Audrey Peinado
Muriel Chiaramonti
Gaëlle Leveque
Guylaine Renaud
Rachel Rouvière
Marie-Madeleine Martinet

MADALENA – ZYRIAB OU LA CINQUIEME CORDE – Festival des Musiques sacrées de Fès ( Maroc)

madalena

ZYRIAB OU LA CINQUIEME CORDE

Bab Al Makina – Fes – Maroc

Création musique & image pour l’inauguration du Festival de Fès des musiques sacrées du monde.

Conception et mise en scène : Alain Weber

 

Création musicale pour le tableau final du spectacle avec le chœur Populaire des pays d’Òc MADALENA – sous la direction de Manu Théron et Ensemble Haïdouss d’Oulmès (Maroc).

Un voyage aux sources d’inspiration de la musique andalouse, entre ciel et terre, montagnes et palais

La musique arabe lorsqu’elle deviendra andalouse, héritera de l’enseignement des anciens philosophes tels Al Firdûsî ou Al Kindi, eux-mêmes inspirés par la pensée de Phythagore et Platon.
Leur vision du cosmos et des planètes reliées à la musique rejoint celle du poète du désert, qui contemplait l’immensité du ciel étoilé.
Poète, chanteur et musicien d’origine kurde, Abou Al-Hassan Ali Ibn Nâfi, dit “Zyriab” (“l’oiseau ou le merle noir), prince flamboyant de cette grande épopée andalouse nous fera traverser ciel et montagnes, jusqu’à la cour ommeyade de l’émir ‘Abd al-Rahman II de Cordoue dans un spectacle qui réunira des artistes venus d’Ouzbékistan, d’Iran, de Syrie, d’Inde, d’Espagne, d’Égypte, d’Italie, d’Arménie, de France et du Maroc.

MADALENA – 25/05/24 – Festival de Fès des Musiques Sacrées du Monde (Maroc)

MADALENA
Une oeuvre réjouissante de réappropriation d’un pan refoulé de l’histoire…
Celle de MADALENA qui, à l’instar de l’Artémis d’Ephèse, demeure l’une des figures tutélaires et intemporelles de la cité phocéenne.

L’adaptation de la cantilène à Sancta Maria Magdalena par Manu Théron était une gageure. Il fallait permettre à ce chant archaïque, renouant avec la dévotion populaire à la sainte en Provence, de se déployer librement, affranchi de l’uniformité du dogme catholique qui l’avait un temps proscrit. Confiée à un chœur de vingt-trois femmes (alors que La Cantinella était autrefois interprétée par des chanoines de la cathédrale de Marseille), Madalena est une célébration rare et exaltante de la féminité et du plaisir de chanter.

Magnifiée par la spiritualité solaire et unique de ce chœur des Pays d’Oc, la musique de Madalena s’inscrit dans une dynamique singulière, spécifique aux musiques populaires spirituelles de Méditerranée. Alternant répétition, scansion et échanges entre chœur et soli, l’œuvre nouvelle, empreinte de majesté et de modernité, est d’abord une ode à la vie, à l’émancipation et aux retrouvailles des plaisirs terrestres et de l’amour divin.

Distribution:

Manu Théron : Direction artistique

Lise Borki
Camille Simeray
Karine Berny
Hélène Arnaud
Myriam Boisserie
Hélène Pages
Laetitia Dutech
Anaïs Andret- Cartini
Colette Guilhem
Carole Lazzeri
Magali Bizot- Dargent
Maguelonne Bizot-Dargent
Caroline Tolla
Marie-Noëlle Pieracci
Annie Maltinti
Isabelle François
Géraldine Lopez
Audrey Peinado
Muriel Chiaramonti
Gaëlle Leveque
Guylaine Renaud
Rachel Rouvière
Marie-Madeleine Martinet

DE LA CRAU – 25/05/24 – Bourdeilles (24) / Festival Paratge

DE LA CRAU

 

De l’enfer industriel de Fos-sur-Mer à la rive arlésienne du Rhône,  la CRAU -dernière steppe d’Europe occidentale- fait le lit du réel. Des amas de rocaille, cette ancienne mer abandonnée en a roulé et en roule encore dans la furie du vent, et une voiture qui traverserait de part en part ce petit désert filerait droit sur des dizaines de kilomètres, dans des paysages qu’un  Hopper ou un Walker Evans auraient rendu américains sans effort.

C’est sur les fonds de cette mer bordée d’usines, assoupie dans la sobriété de son déploiement immense, que les trois musiciens de DE LA CRAU ont imaginé la bande-son de leur périple. Ils sont partis d’un chant qui éventre les cieux,  auquel répondent en puissance et en poésie la contrebasse, les percussions et le déchaînement extatique de la mandole.

C’est dans cette étendue post-industrielle que Lou Reed croise enfin Matar Muhammad, et c’est seulement là qu’on imagine leur rencontre, sous la plume d’un SAMUEL KARPIÉNIA inspiré comme jamais, emmené à son apogée par l’archet sombre et vigoureux de MANU REYMOND et le set coloré de THOMAS LIPPENS. Ils explorent à présent un sillon creusé il y a vingt ans non loin des usines, comme une plaie qu’ils continueraient de soigner pour l’éternité, et que le chant et la mandole ne parviendraient à apaiser que dans l’amplitude âpre de ces horizons.

 

DISTRIBUTION :

 

Sam Karpienia commence le chant provençal avec le groupe de Manu Théron Gacha Empega, ensuite il fonde Dupain de 1999 à 2016 et parallèlement le groupe Forabandit mélangeant provençal et chants d’Anatolie.

 

Manu Reymond a joué avec le groupe PoumTchac et collaboré à divers projets ( BabX, Nathalia M King, bal folk…)

 

Thomas Lippens a étudié le tambourin à Naples et a intégré cet instrument dans différents projets de musiques traditionnelles dans le sud de la France, mais aussi au sein de la Kreiz Breiz Académie en Bretagne avec Erik Marchand.

TRAMUNTANA – 30/06/24 – St Pierre d’Aurillac ( 33) – Festival de Fifres de Garonne

TRAMUNTANA

 A Tramuntana , c’est le vocable sicilien qui désigne notre Tramontane méditerranéenne, ce vent qui passe tous les obstacles pour venir balayer les cieux de l’écho des rues, des plaines et des montagnes qu’il a traversées. En Provence, en Sicile ou en Afrique du Nord, la tramontane ne dispense pas forcément les mêmes bienfaits, mais elle est cependant toujours annonciatrice du changement que marins, voyageurs ou pèlerins attendent pour connaître la direction à emprunter.

C’est dans le chant et les musiques de ces voyages que  « TRAMUNTANA » puise son inspiration, pour restituer non seulement les espoirs, mais aussi les parfums et les sonorités rencontrées par les musiciens lors de leurs voyages dans ces régions.

Manu Théron (chant, tambours sur cadre) a réuni dans cet ensemble la chanteuse sicilienne Maura Guerrera (chant et Tamburello), le musicien grec  Anastasios Tsitsivakos,  le chanteur Avignonnais Damien Toumi (chant et bendir), le musicien Arthur Bacon ( accordéon), ainsi que le virtuose Benjamin Mélia (flûtes, fifres, galoubets et cornemuses, tambourin) et Thomas Lippens (barroudeur de percussions) pour initier et retranscrire les parcours de la Tramuntana dans les musiques populaires de méditerranée.

En Italie, Berlioz avait remarqué la puissance évocatrice des instruments populaires lors de la venue de musiciens traditionnels des Abruzzes au moment des fêtes religieuses ou des célébrations de Noël. Il notait aussi la vivacité et l’intensité de l’émotion qu’il avait ressentie en allant les entendre ensuite dans leurs montagnes. C’est à cette expérience que Tramuntana convie l’auditeur, a la découverte des sonorités et des émotions que les musiciens impriment au long de leurs périples.

 

DE LA CRAU – 06/07/2024 – GRAMBOIS (04) – Festi’Musicales

DE LA CRAU

 

De l’enfer industriel de Fos-sur-Mer à la rive arlésienne du Rhône,  la CRAU -dernière steppe d’Europe occidentale- fait le lit du réel. Des amas de rocaille, cette ancienne mer abandonnée en a roulé et en roule encore dans la furie du vent, et une voiture qui traverserait de part en part ce petit désert filerait droit sur des dizaines de kilomètres, dans des paysages qu’un  Hopper ou un Walker Evans auraient rendu américains sans effort.

C’est sur les fonds de cette mer bordée d’usines, assoupie dans la sobriété de son déploiement immense, que les trois musiciens de DE LA CRAU ont imaginé la bande-son de leur périple. Ils sont partis d’un chant qui éventre les cieux,  auquel répondent en puissance et en poésie la contrebasse, les percussions et le déchaînement extatique de la mandole.

 

C’est dans cette étendue post-industrielle que Lou Reed croise enfin Matar Muhammad, et c’est seulement là qu’on imagine leur rencontre, sous la plume d’un SAMUEL KARPIÉNIA inspiré comme jamais, emmené à son apogée par l’archet sombre et vigoureux de MANU REYMOND et le set coloré de THOMAS LIPPENS. Ils explorent à présent un sillon creusé il y a vingt ans non loin des usines, comme une plaie qu’ils continueraient de soigner pour l’éternité, et que le chant et la mandole ne parviendraient à apaiser que dans l’amplitude âpre de ces horizons.

 

DISTRIBUTION :

 

Sam Karpienia commence le chant provençal avec le groupe de Manu Théron Gacha Empega, ensuite il fonde Dupain de 1999 à 2016 et parallèlement le groupe Forabandit mélangeant provençal et chants d’Anatolie.

 

Manu Reymond a joué avec le groupe PoumTchac et collaboré à divers projets ( BabX, Nathalia M King, bal folk…)

 

Thomas Lippens a étudié le tambourin à Naples et a intégré cet instrument dans différents projets de musiques traditionnelles dans le sud de la France, mais aussi au sein de la Kreiz Breiz Académie en Bretagne avec Erik Marchand.

juillet 06 2024

Details

Date: juillet 6
Time: 19 h 00 min - 23 h 00 min
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Venue

Grambois

Grambois, 84240 France

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Organisateur

Zicpourtous